Cette note du Pôle d’expertise nucléaire et fossiles de l’Institut Negawatt présente l’analyse critique d’un nouveau problème de sûreté concernant le réacteur nucléaire EPR en construction à Flamanville.
Cette note du Pôle d’expertise nucléaire et fossiles de l’Institut Negawatt présente l’analyse critique d’un nouveau problème de sûreté concernant le réacteur nucléaire EPR en construction à Flamanville.
L’avis de l’ASN analysé ici porte essentiellement sur le projet EPR nouveau modèle (EPR NM). Le projet EPR 2, étant peu différent de celui-ci, fait l’objet de quelques commentaires, relatifs à ces différences.
Régulièrement, Mathieu Eisinger va déjeuner chez Bernard Laponche, ils en profitent pour discuter d’un sujet lié à l’actualité de l’industrie du nucléaire.
Les démarches engagées après la catastrophe de Fukushima pour réévaluer la sûreté des installations nucléaires françaises s’inscrivaient dans la perspective d’intégrer ce retour d’expérience en une dizaine d’années.
Rapport de l’étude sur les risques du prolongement de la durée de fonctionnement au delà de 40 ans des 32 réacteurs de 900 MW de puissance électrique d’EDF, réalisée sur la base du projet due rapport d’instruction de l’ASN sur la phase générique du quatrième réexamen périodique des réacteurs de 900 MW. Cette étude a été réalisée à l’attention de l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST)
Thierry de LAROCHELAMBERT, membre de Global Chance, est contributeur à l’ouvrage Sûreté et sécurité des installations nucléaires civiles, qui vient de paraître aux Editions Mare & Martin. Le livre comporte les actes augmentés du Colloque éponyme organisé par le CERDACC (Centre Européen de (…)
Analyse de la sûreté de la centrale nucléaire du Tricastin dans le cadre des 4èmes réexamen de sûreté des réacteurs de 900 MW de puissance électrique.
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L’analyse sur la période 2010-2020 des incidents graves sur les réacteurs du parc nucléaire d’EDF met en évidence une augmentation des risques du fait du vieillissement des installations, des défaillances d’équipement, des défauts de maintenance et des erreurs d’exploitation. Elle met en (…)
Résumé – Cette étude a pour but de faire le point sur les travaux de recherche mondiaux les plus récents et les plus approfondis sur le vieillissement thermique des aciers sous irradiation, effectués sur la base des méthodes de mesure les plus performantes (comme la tomographie à sonde atomique (…)
La notion d’« exclusion de rupture » est de plus en plus présente dans le domaine de la sûreté nucléaire. En contrepartie d’un renforcement des exigences de conception, de fabrication et de suivi en service de certains matériels, elle permet à leurs fabricants et exploitants de considérer qu’une rupture de ces matériels est, si non impossible, du moins « extrêmement improbable ». En conséquence de quoi ils n’ont pas à faire l’hypothèse d’une éventuelle défaillance de ces matériels dans leur démonstration de sûreté et aucune disposition n’est prévue pour en limiter les conséquences... Cette notion d’« exclusion de rupture » soulève donc de réelles questions de fond, d’autant que son extension récente à de nouvelles catégories de matériel fait craindre un glissement d’une approche déterministe à une approche probabiliste de la sûreté nucléaire, tandis que l’affaire de la cuve de l’EPR de Flamanville a montré l’acceptation d’un état de fait allant directement à l’encontre des principes à la base de la notion d’« exclusion de rupture »...